''Imi N’Ighrem ou le massacre d’un patrimoine culturel! Comment peut-on rester indifférent quand on voit ce que sont devenus les deux Borjs du Ksar? Où étions-nous quand les apprentis maalem et leurs commanditaires ont travesti ce qui représentait la fierté d’un ksar? Et l’entité chargée de la sauvegarde des monuments historiques, qu’a-t-elle fait et que pense-t-elle faire ? Hier c’était Imi N’Ighrem, aujourd'hui, c'est la porte du Mellah ! Dommage qu’on ne puisse plus admirer ces borjs élancés qu’en photos.'' Lire la suite sur Goulmima.com. ''Leur restauration est faite à la hâte sans tenir compte des critères intrinsèques qui présidaient à leur construction. Les cas des portails d'EL MELLAH et d'IMI AKHATAR à IGOULMIMEN illustrent lugubrement ce replâtrage architectural. Nos anciens artisans avaient fait preuve de génie, ils avaient construit ces ''citadelles'' avec beaucoup d'art et d'expertise et cela avec des techniques dites indigènes et des matériaux locaux. Actuellement avec notre savoir académique et tous les moyens et techniques modernes, nous nous soucions peu de notre patrimoine et de sa pérennité. La restauration faite à Igoulmimen n'est pas à la hauteur d'Ighrem n'IGOULMIMEN et encore moins des Ait Ghriss.'' (Ali Ouidani) Lire l'intégralité du texte sur Goulmima.com. |